Gerber
laisser
tomber
lovés
sur le béton
nos
deux
vélos
volés
et
sur la neige
dégueulasse
des cloaques
sur
la neige des jeunesses
alcooliques
–
ton corps
cheval
crevé
offert
dans les fourrés
les
valses de nos rêves
tes
trips – à quatre pattes sur le
parterre
de la patrie –
GERBER
bergère
aux
anges de notre
hymen
prémédité
DEGOBILLER
les
corps étranges de nos
deux
nations alliées
VOMIR
encore
aigris
nos
corps – nos villes
nos
vies grisées
–
toute notre
aliénation
et
nous quitter
le
cœur
noué
(je
sais même pas t'es qui)
Perrin langda
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